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Festival du film arabe de Bruxelles

10 octobre 2008

Gala et film d’ouvertureEN LIVE, Christian Leroy

Gala et film d’ouverture

EN LIVE,

Christian Leroy composera la musique (piano, synthétiseur) et Paola Corti fera les narrations et percussions du film « Les Aventures du prince Ahmed

»

Christian Leroy

, né à Mon en Belgique en 1952, s’est imposé depuis 20 ans comme l’un des compositeurs les plus créatifs de notre pays.

Paola Corti

est née à Aoste, 1966. Comédienne et metteur en scène, elle a joué dans plusieurs spectacles, soit en Italie soit en France: “Ode al Paesaggio”, “Diavoli” (Envers Teatro); “Il miracolo di Sant’Orso”, “La Farsa dei quattro Mangioni”,…Directeur Artistique de l’Ecole de Théatre Skenè (dès 1999) et de la compagnie théatrale Arti di Eris (qu’elle a créée en 2005) elle est metteur en scène et protagoniste des spectacles. En 2007 elle réalise la mise en scène de “Ambroisies, incanto divino”.

4

Allemagne, Les Aventures du prince Ahmed, Lotte Reiniger, 65’, 1926

Synopsis :

Un mage africain crée un cheval volant, et le propose à un calife, qui lui achète contre ce qu'il voudra parmi ses trésors. Le mage choisit sa fille la princesse Dinarsade. Il montre au fils du calife, le prince Ahmed, comment faire monter le cheval. Le prince l'essaie et s'envole aussitôt, mais le mage ne lui a pas montré comment faire descendre le cheval.

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Carte blanche du FIGOG

Festival International du film Oriental de Genève

cherche à montrer des fictions, des documentaires et des courts-métrages inédits ou peu connus en Suisse et offrir une plateforme d'expression pour les jeunes réalisateurs orientaux et favoriser le dialogue et la compréhension interculturelle.

4 films sont proposés par le FIGOG

Algérie, Si Mohand U M’hand, l’Insoumis, Liazid Kodja, Rachid Benallal Maroc, Les Anges de satan, Ahmed Boulane, 84’, 2007
Algérie, Frontières, Mostéfa Djadjam, 105’, 2001
Algérie, « Ca tourne à Alger », documentaire, Salim Aggar, 52’,

Algérie, Si Mohand U M’hand, l’Insoumis, Liazid Kodja, Rachid Benallal

Portrait de Si Mohand U M’hand, l’insoumis, poète algérien de la fin du siècle dernier. Un destin tragique marqué du sceau de l’errance et de la révolte. En tant que poète, il a donné à la langue kabyle une dimension et une beauté inégalée. Observateur, il a assisté à la destruction totale de l’ordre ancien et résistant, il a refusé tout compromis et a vécu dans l’insoumission au nouvel ordre qu’impose la présence coloniale française en Algérie.


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Maroc, Les Anges de Satan, Ahmed Boulane, 84’, 2007

Les Anges de Satan est l’histoire de 14 jeunes musiciens de hard-rock arrêtés par la police et condamnés par la justice à des peines allant de trois mois à un an pour « ébranlement de la foi musulmane » et « satanisme ». La justice, elle, va donner une dimension kafkaïenne à ce drôle de procès. Les médias et la société civile se mobilisent...

6

Algérie, Frontières, Mostéfa Djadjam, 105’, 2001

Rêvant d'un occident riche et démocratique, un groupe d'africains, six hommes et une femme, immigre clandestinement en Europe. L'entraide sera nécessaire pour endurer ce long voyage qui les mènera à travers le Sénégal, l'Algérie et le Maroc.

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Le film débat

Algérie, « Ca tourne à Alger », documentaire, Salim Aggar, 52’, 2007


A travers la chronique du cinéma algérien, nous découvrons dans ce documentaire le parcours cinématographique de quatre cinéastes algériens aux styles et aux genres différents. Réalisant leurs films en plein décennie noire, entre 1992 et 2004, dans un contexte politique, social et artistique particulier, on découvre les difficultés, les réalités, la vie, les anecdotes, et surtout le drame du 7
e art algérien à travers le parcours artistique de quatre films prolifiques du cinéma algérien.

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« Entre renaissance et crise, quel est l’avenir du cinéma algérien ? »

Le cinéma algérien depuis sa naissance en 1957 jusqu’en 2006 repose sur le mouvement en vagues. Il a démarré avec une petite cellule et a évolué à travers le temps. Il a pu réaliser d’excellents films durant les années 70 où il a été hautement subventionné. Les années 80 ont connu le début d’une crise du cinéma algérien à cause de dysfonctionnements et des problèmes liés au modèle de gestion. La crise des années 90 a obligé les cinéastes à l’exil où la coopération avec les réalisateurs français a donné un ensemble de films.

Le cinéma algérien s’est vu pendant longtemps lié à la guerre de libération. Des tentatives au début des années 70 ont permis de varier et diversifier la thématique. La crise des années 90 a ajouté d’autres thèmes liés à l’intolérance, la situation des femmes et des jeunes. Au début des années 2000 un espoir est né vu l’amélioration de la situation sécuritaire en Algérie.

·

Le cinéma algérien est-il donc condamné à revenir sur les périodes de crise et de conflit du pays, notamment la guerre de la libération ?

·

La mise en place d’une commission composée de professionnels du cinéma a-t-elle apporté son fruit ?

·

Le cinéma algérien redeviendra–t-il une des meilleures écoles du cinéma arabe ?

Pour le Festival Aostaclassica 2005, elle a réalisé et interprété le spectacle “Tristano muore”. Pour le Festival Lestradedelcinema 2005, elle a réalisé et interprété le spectacle “Cenere” (qui a été rejoué en 2006 et 2007 en Belgique). C’est à partir de cette expérience là qu’elle commence sa collaboration avec le musicien belge Christian Leroy.

Actuellement elle travaille sur deux projets: “L’orto del Vicino è sempre più verde” et “Amens”.

En 1979, il fonde l’ensemble Musique Vivante qui évoluera pour devenir en 1980 le prestigieux trio Métarythmes de l’air avec Philippe Saucez et José Bedeur. Ce trio, qui deviendra un quintette, a participé aux expériences les plus fascinantes des scènes belges et internationales : Festivals, théâtre, cinéma, poésie, événements, etc. Il a été à l’affiche de nombreux Festivals importants en France, Hollande, Allemagne, Amérique du Nord, Suisse, Irlande, Roumanie, Bulgarie, Tunisie, Italie, Maroc etc. Il est fondateur du Quatuor Noir et du Belgisch Pianokwartet

En 1994, il crée avec l’ensemble Métarythmes la musique originale du film légendaire «Dracula» de Tod Browning. Après le succès de l’entreprise, Christian Leroy décide en 1997 de composer la musique originale du film culte «Nanouk l’Esquimau» de Robert Flaherty.

Exceptionnellement, la société des grands films classiques de Paris sortira une nouvelle copie du film avec une musique originale composée par Christian Leroy. Ces Deux grands spectacles musicaux et cinématographiques à nul autre pareil, nous ont procuré un immense moment de vertige. En 2003, il crée la musique originale du film «Le Dernier des Hommes» de F.W. Murnau, le dernier volet de la trilogie consacrée aux grands films appartenant au patrimoine mondial du cinéma muet noir et blanc.

*Prix du Hainaut en 1982 *Prix Mention spéciale, au Festival de Caracas pour ses musiques de films en 1983. *Prix de la Presse au Festival de Spa *Prix de la pensée Wallonne.

·

Une réforme de l'audiovisuel algérien est-elle nécessaire ?

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Quelle est la politique de la production audiovisuelle en Algérie actuellement ?

·

Quelles sont les solutions à proposer ?

·

… ?

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Le film soutenu par le dossie rpédagogique

Maroc, Adieu Mères, Mohamed Ismail, 115’, 2007

C'est l'histoire de deux familles, une musulmane et une juive, à travers laquelle nous voulons mettre en valeur la cohabitation paisible entre communautés au Maroc, mais c'est aussi l'histoire de 300.000 juifs qui ont quitté, clandestinement pour la plupart d'entre eux, le territoire national à la poursuite de promesses sans lendemain... C'est un message de paix qui montre que la cohabitation entre communautés, est possible, indépendamment des tribulations politiques qui n'ont fait qu'envenimer les rapports humains...

10

Les longs métrage

s

Tunisie, L’accident, Rachid Ferchiou, 93 min, 2008

Ce film comporte des actes sexuels

La vie semble sourire à Farès universitaire et chauffeur de taxi occasionnel. Sa femme Fatma vient de lui donner son premier petit garçon, son club de football a battu l’équipe adverse. Mais le destin en décide autrement. Farés ne se doute pas un seul instant que sa vie va basculer quand il prend dans son taxi une belle et mystérieuse passagère.

Maroc, Où vas-tu Moshé ?, Hassan Benjelloune, 90’, 2007

Quand Mustapha, le gérant du seul bar de la petite ville de Bejjad, apprend que tous les juifs partent en Israël et autres pays, il craint la fermeture forcée de son bar. C’est alors que se présente une solution tellement simple que personne n’y avait songée…

11

Iraq/USA, David & Layla, Jay Jonroy, 106’, 2005

David, un journaliste télé, a un véritable coup de foudre lorsqu'il pose les yeux sur Layla, une mystérieuse et sensuelle danseuse orientale. Bien qu'il soit déjà fiancé, il va tout mettre en oeuvre pour conquérir le coeur de la belle femme. Cependant, les deux familles sont violement opposés à cette relation. Entre mariage arrangé et guerre entre les peuples, l'amour de David et Layla saura-t-il triompher de l'animosité ?

Belgique, Si le vent soulève les sables, Marion Hänsel, 96’, 2006

D’un côté, le désert qui grignote la terre, la saison sèche qui n’en finit plus, l’eau qui manque. De l’autre côté, la guerre qui menace. Au village le puits est à sec. Le bétail meurt. La majorité des habitants, se fiant à leur instinct, partent en direction du Sud. Rahne, seul lettré, décide de partir avec Mouna, sa femme et ses trois enfants vers l’est.

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Maroc, La Beauté Eparpillée, Lahcen Zinoun, 90’, 2007

Au Maroc en 1913, enlevée puis vendue par des marchands d’esclaves, Oud L’Ward découvre la musique et intègre la riche demeure d’un maître de musique qui décide d’en faire son élève… Une nuit, il force la porte sa chambre et la viole. Découvrant qu’elle est enceinte, Oud L’Ward tente de cacher sa grossesse mais une esclave ne saurait échapper à son destin. Démasquée par les épouses, Oud L’Ward est contrainte d’avorter.

Anéantie, elle sombre dans la folie.

Egypte, Les démons du Caire, La Jungle, de Ahmed Atef, 92’, 2007

Un petit garçon surgit entre les voitures, tape à la vitre, réclame de l’argent. Il a 6 ans, le visage à moitié enfoui dans un pull-over crasseux, il respire là les dernières effluves de kola, la colle qu’il a inhalé pour s’étourdir, la drogue à prix cassé des enfants des rues. Ce film est le symbole d'un cinéma égyptien qui bouscule au niveau politique et dénonce désormais les sujets de société qui fâchent.

13

Tunisie, Par-delà les rivières, Khaled W. Barsaoui, 85’, 2006

Lors de la cérémonie de mariage avec son cousin Ikbal, Aïcha fait volte-face et s’enfuit avec Mahdi, le jeune homme qu’elle aime. S’ensuit alors une course-poursuite effrénée qui, en les conduisant sur les lieux de leurs souvenirs, les mènera jusqu’aux origines de leur déchirement.

Mauritanie, en attendant le bonheur, Abderrahmane Sissako, 95’, 2002

Nouadhibouest une ville de transit en bordure de Mauritanie. Plusieurs voyageurs attendent le jour du départ vers l’Europe où, comme ils l’espèrent, ils trouveront des jours meilleurs. Comme il ne connaît pas la langue locale, Abdallah tente de comprendre ceux qui l'entourent, de déchiffrer cet univers. Nana, une femme sensuelle, cherche à le séduire. Makan rêve de l'Europe. Et Maata, ancien pêcheur reconverti en électricien, accompagné de Khatra, son apprenti en culottes courtes. Tous ou presque ont le regard rivé vers l'horizon, en attendant un hypothétique bonheur.

14

Maroc, Ex clochard, Mahmoud Fritès, 100’, 2008

Ce film comporte un dialogue très vulgaire

Le film raconte l’histoire d’un clochard qui tombe amoureux de la fille d’un parlementaire.

15

Les documentaires

France, De Casa au paradis, Hind Meddeb, Gallagher Fenwick, 44’

, 2008

Deux ans après les attentats de Casablanca le 16 mai 2003, Hind Meddeb et Gallagher Fenwick partent sur les traces des 13 kamikazes à l’origine du drame.

Canada, War Babies /Nés de la haine, Raymonde Provencher, 93’, 2003

Ce film est le premier à s'intéresser aux enfants qui naissent suite au viol des femmes durant la guerre. Quel sort la vie réserve-t-elle à ces enfants? Peuvent-ils faire partie intégrante d'une famille?

Comment peuvent-ils faire face au traumatisme? Comment une femme peut-elle aimer l'enfant de son bourreau?

Nés de la haine explore la relation entre les femmes violées et les enfants nés des crimes de guerre.

16

Palestine, Israel, Un étranger dans ma maison, Sahera Dirbas, 37’, 2008, sous-titré en anglais

A Jérusalem, à l’occasion du 40

ème anniversaire de la guerre de 1947, 8 réfugiés palestiniens témoignent sur la destruction du quartier Mograbi dans la vieille ville. Ils se souviennent de leurs foyers occupés par des israéliens en 1948. Certains de ces réfugiés sont se rendus dans leurs anciennes maisons et ont discuté avec les israéliens qui y habitent actuellement.


De telles questions et beaucoup d’autres alimenteront le débat autour d’une table dont la majorité des intervenants sont des professionnels algériens.

Israël, A l’école de la paix, Barak Heymann, Tomer Heymann, 52’, 2006

Dans la région de Haïfa, un collectif de parents juifs et arabes a créé en 2003 une école mixte appelée "Le pont sur le Wadi" qui dispense un enseignement bilingue et surtout biculturel.

17

Palestine, Liana Badr, Les passages sont ouverts parfois, 45’, 2006

En Palestine, les routes ne mènent pas, ne vous emportent pas à… elles butent contre le mur d'annexion, les check-points cruels ou des portes souvent fermées. Ces portes qui permettent ou empêchent le passage audelà du Mur sont le théâtre d'incidents qui ressemblent à des cauchemars ; elles sont devenues les nouveaux monuments d'une vie impossible.


Egypte, Une colonie pas une patrie, Amany Khayate, 30’, 2008

La présence israelienne en palestine est une présence colonisatrice, c’est ce que le documentaire réalisé par AMANY khayat, relate à travers des exemple de la vie quotidienne des palestiens, l’ occupation,la privation,les assassinats, implantions des colonies et autres sources de soufrance d’un peuple .

Le documentaire explique aussi cette volonté des colons de mettre dehors tous les palestiens et d’effacer toute leurs histoire.


Les courts métrages

France, Maroc, Mohamed Mouldouira, 15’, 2007

Saïd roule comme une âme en peine dans les rues de Casablanca. Il croise Leila, une belle et mystérieuse inconnue à qui il propose de raccompagner chez elle. Il lui raconte son mariage raté. Au bout du chemin, Saïd découvre le terrible secret de Leila…


Maroc, Double voi(x)e, Rachid Zaki, 15’, 2008

Ils se connaissent depuis cinq ans. Ils sont devenus presque la même personne comme dans un jeu de miroir. Sami et Sanaa sont faits l’un pour l’autre. Ils décident un jour d’un commun accord de donner un nouveau tournant à leur relation et annoncer une décision capitale qui va changer le cours de leur vie. Arriveront-ils à se surprendre?

Iraq, Colorist in a wartime, Faraj Khadim, 15’, 2006

Jaber est un peintre iraquien qui vit en exile à Rome depuis 30 ans. Pendant la guerre d’Iraq, il a préparé une exposition sur le thème de la beauté et l’amour. Ces oeuvres représentent la destruction et l’agression faites par la guerre avec l’espoir de créer une image colorée de la vie.

UAE, Bint Mariam, Saeed Salmeen, 20’, 2008, sous-titré en anglais

A chaque goutte d’eau qui tombe, une histoire est née et racontée par Bint Mariam “fille de Mariam” qui, après la mort de son sexagénaire mari, part à la rencontre des visages qui expriment la tristesse en silence.

Le film nous apprend que dans chaque coeur et chaque foyer, il y a une fille qui peut avoir des similarités à bint Mariam.

Egypte, Chats de Gouttière, Tamer El Boustany, 20’, 2008

Ce film comporte des actes érotiques

Amir décide soudainement d'aller étudier la cinématographie en Italie. Juste avant son départ, dans un café au Caire, son regard tombe sur une jeune femme d'une sensualité remarquable. Leurs yeux se croisent et une complicité naît. Elle se permet alors de lui demander d'une manière explicite la somme de 500 Dollars américains qu'il accepte de payer sur le champ et ils prennent le chemin de sa garçonnière.


France, La robe rouge, Myriam Chetouane, 6’, 2007

Un couple avec un enfant en bas âge à Paris mène une vie à priori sans histoire. Ici, nous allons être témoins d’une scène de la vie quotidienne, à l’intérieur de leur intimité. L’homme est battu par sa femme, non loin de son enfant. Immobilisé par la peur, peur des représailles, il ne riposte pas. Il a perdu son emploi, sa « virilité », son statut d’homme de la maison. Il se laissera mener à la baguette.


P

ARTENAIRES/ PARTNERS

Partenaires institutionnelles

:

La Coopération au Développement
Collège des Bourgmestre et Echevins de la commune d’Ixelles
L’ Echevinat des affaires néerlandophones et de la vie dans les quartiers d’Ixelles
L’ Echevinat de la culture d’Ixelles
L’ Echevinat du Jumelage Ixelles-Palestine

Partenaires festivals :

Festival du Film Oriental de Genève, monsieur Tahar Houchi
Festival du Film Arabe de Californie, madame Sonia El Feki
Festival du Film Arabe de Rotterdam, monsieur Chouket Khaled
Festival du court métrage d’Azrou (Ciné azrou), monsieur Abdelaziz Belrhali
Festival du Film International de Rabat, monsieur Hammadi Guerroum

Partenaires colloques et débats  :

AWSA (Arab Women’s Solidarity Association)

Partenaires salle de cinéma et salles de projections / Bioscoop en projectiezalen partners

Le Vendôme, madame Heuze
Gemeenschapscentrum Elzenhof, madame Gudrun Willems
Le Château de Karreveld, madame françoise Schepmans, Echevine
Espace Matonge, madame Hélène Madinda

Partenaires voyages :

Royal Air Maroc
7 Plus, Tour Operator

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Liste des invités

Nos invités seront logés à l’hôtel Chambord
Porte de Namur

Rola

Mahmoud, actrice, Egypte
Mohamed
Ismail, réalisateur, Maroc
Myriam
Chetouane, réalisatrice, France
Ahmed
Atef, réalisateur, Egypte
Hassan
Bejelloun, réalisateur, Maroc
Jalal
Jonroy, réalisateur, Etats Unies
Rachid
Ferchiou, réalisateur, Tunisie
Hind
Meddeb, réalisatrice, France
Salim
Aggar, réalisateur, Algérie
Lahcen
Zinoun, réalisateur, Maroc
Mostéfa
Djadjam, réalisateur, France
Omar
Mouldouira, réalisateur, France
Shereen
Ghieth, Réalisateur, Egypte
Khaled
Barsaoui, réalisateur, Tunisie
Ahmed
Boulane, réalisateur, Maroc
Liazid
Khodja, réalisateur, Algérie
Mohamed
Bakrim, Centre Cinématographique Marocain
Tahar
Houchi, Directeur Du Festival du Film Oriental de Genève
Khaled
Chouket, Directeur Du Festival du Film Arabe de Rooterdam
Guerroum
Hamadi, Directeur Du Festival du Film International de Rabat
Bouchta
Ibrahimi, réalisateur, Maroc
Zahra
Messaoud, actrice, Maroc
Mahmoud
Fritès, réalisateur, Maroc

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